sabato 24 maggio 2008
Premières remises de Prix
CANNES (FRANCE) - En marge du Palmarès officiel, d’autres prix viennent récompenser les films présentés durant ce Festival. En voici la liste :- A la Quinzaine des Réalisateurs, Eldorado de Bouli Lanners a reçu le Prix "Label Europa Cinémas", attribué au meilleur film européen de la Quinzaine, et le Prix "Regards Jeunes", remis à un premier ou à un deuxième long-métrage. Les Bureaux de Dieu de Claire Simon a quant à lui reçu le prix SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques), qui couronne un long métrage francophone de la Quinzaine. Et Blind Loves de Juraj Lehotsky a remporté le prix de la CICAE (Art et Essai), remis par un jury international constitué de programmateurs de cinémas indépendants. Enfin, le prix du court-métrage "Un regard neuf" est allé à Muro du Brésilien Tiao.- Le Grand Prix de la Semaine internationale de la Critique, décerné par la presse et dont la vocation est de faire éclore de nouveaux territoires avec des premiers ou deuxièmes films, a été remis à Snow, premier film de la Bosniaque Aida Begic. Autre prix décerné, celui de la SACD (Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques), remis à Moscow Belgium de Christophe Van Rompaey. Le Grand Prix Canal + du meilleur court-métrage est pour sa part allé à Next floor de Denis Villeneuve.- Le Prix France-Culture 2008, qui récompense chaque année un cinéaste pour son oeuvre ou la force son engagement, a été décerné à l’actrice-réalisatrice Sandrine Bonnaire. Celle-ci a été élue par un jury présidé cette année par la comédienne Ariane Ascaride et composé notamment de Gilles Jacob, président du Festival de Cannes, Laure Adler et Frédéric Mitterrand. Ariane Ascaride a souligné que Sandrine Bonnaire "a marqué de son empreinte indélébile le cinéma français" et a exprimé son "respect total pour l'actrice, la réalisatrice et la femme". "Tout le monde rêve d'être ta soeur", a ajouté Ariane Ascaride lors d'une réception dans un palace cannois en présence de Jean-Paul Cluzel, président de Radio France. En 2006, Sandrine Bonnaire avait réalisé Elle s'appelle Sabine, documentaire intime et engagé sur l'autisme dont souffre sa soeur. Présenté l'année suivante à la Quinzaine des Réalisateurs, section parallèle du Festival, le film avait décroché le Prix FIPRESCI de la Critique internationale.
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